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30 avril 2008

Commentaires

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sborgnanera

"Mais ressentir, palper, humer et apprécier... c'est à la portée de chacun, non ?"

clairement non et encore moins de savoir le retransmettre à autruit

je ne sais plus qui disait fort judicieusement ça : "pour juger un restaurant, il faut en avoir gouté 1.000"

jean-yves

dis-don, le tonton Françoué, lé quand que le vint se loger darrière la cravate une graissinée de préfou pis une marmitée de mogette par ché nous autes ?

Aude

Très chouette cette interview, pour une fois que F.S. se retrouve de l'autre côté du miroir.

Toutefois, 2 questions me taraudent :
1) il ne réserve pas à son nom, certes, il demande les compositions des sauces "candidement" et garde sa caméra discrète... Mais son visage, s'il est inconnu du grand public, est bien connu dans le petit monde de la gastronomie. Comment ne pas se faire "griller"? Cela dit, le problème de l'anonymat est propre à tous les critiques talentueux qui sont sur le terrain depuis un certain nombre d'années.

2) Pourquoi un amateur de bonne chair ne serait-il pas capable de juger un restaurant ? La question de la rédaction est un autre problème car là, ok, il faut un savoir-faire. Mais ressentir, palper, humer et apprécier... c'est à la portée de chacun, non ?

Benoit Wagner

Reçu, en effet...

stephane

Benoit, Tu as recu la meme info par FB...

S.

Benoit Wagner

???
Tu nous tiens au courant, Stéphane ?

Benoît

stephane

Je viens de remonter une info assez importante a ces critiques, on verra comment ils vont la traiter...et jusqu'ou va la critique...

Kaplan

Voilà qui va relancer le débat "Les critiques VS la blogosphère", qui me semble assez vif depuis quelque temps. :)

Mr Lung

J'aime toujours autant lire et voir François Simon, n'en déplaise à ceux qui le vouent aux gémonies. En revanche, j'ai toujours une sainte horreur du terme "blogueurs". C'est un peu comme quand on dit "ceux qui ont un numéro de sécurité sociale". Il n'y a aucune homogénéité dans cette population et François Simon le démontre malgré lui... en bloguant, comme tant de journalistes ! Décidément, c'est un métier qui ne sera jamais à court de contradictions, héhé ;-)

Je préfère envisager un blog comme un simple outil qui ressemble à une maison vide : vous pouvez en faire votre chez soi ou un commerce en toute liberté. A présent, rien n'empêche non plus d'en faire des lattrines...

Vive la différence et le dilettantisme éhonté !

 szym&me

On sent le caractère bien trempé du monsieur.
Et en même temps, juste en lisant comme ça, je trouve qu'il impose le respect.

Thierry Richard

Et bien au moins, cela a le mérite de la clarté. Mais c'est un fait que l'on trouve de tout chez les blogueurs où sans doute le pire cotoie le meilleur. Tout comme chez les critiques "professionnels" d'ailleurs... Non, je ne donnerai pas de noms mais franchement, il y a des jours où cela me démange. ;-)

stephane

L'avantage du blogueur c'est qu'il peut dire ce qu'il pense, a partir du moment ou il le pense justifié.
Un pro a toujours plus de retenu...ou ses tetes....

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